Publié dans Sport

Terrain « Manarapenitra » de Morondava - Le ministre Hawel attire l’attention du Premier ministre

Publié le vendredi, 24 septembre 2021


A la traîne. Depuis 10 ans, le stade « Manarapenitra » de Morondava, la première et l’unique grande infrastructure sportive offerte à la province de Toliara, à l’époque de la Transition, est encore loin d’être terminé. Les travaux sur le chantier traînent. Excédé par la situation, durant son passage dans la ville de Morondava, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Hawel Mamod’Ali et non moins ministre coach de la Région Menabe, a sollicité l’attention du Premier ministre Ntsay Christian. Ce dernier est aussi de passage dans la région, et profite de l’occasion pour visiter le chantier toujours en cours.
Depuis sa nomination, c’est la deuxième fois que le ministre Hawel Mamod’Ali est descendu sur terrain pour suivre de près l’évolution des travaux.
« Cela fait 10 ans que le chantier a débuté et jusqu’à aujourd’hui n’est toujours pas inauguré. Je ne vais pas mentionner un délai mais le résultat justifiera les moyens. Je prends comme un défi de terminer ce stade dans les plus brefs délais et ce dans l’intérêt de la jeunesse de Morondava », a-t-il lancé.
Durant sa visite, il a observé les alentours du stade où d’autres infrastructures sportives comme terrain de tennis, de basketball ainsi que celui de handball pourraient être construites. Un terrain qui mesure dans les 3000 m2. Une visite qu’il a fait avec le directeur régional de la Jeunesse et des Sports (DRJS) du Menabe, une journée avant le passage du Premier ministre.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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